Samedi 19 juil. 2014 à 10h08, par Melody
Samedi 19 juil. 2014 à 10h08, par Melody
Deux semaines après la présentation des créatures hantant la Crête de Givrefeu, Blizzard récidive pour notre plus grand plaisir en nous décrivant les bêtes que nous croiserons dans la Vallée d'Ombrelune. Au premier abord tranquille, la Vallée d'Ombrelune regorge de dangers et de créatures prêtes à vous chercher querelles lorsque votre chemin croise le leur.
C'est ainsi que nous en apprenons un peu plus sur ces animaux à la cuirasse épaisse et osseuse que sont les Potamodontes ou bien encore sur les Boguelins arborant un aspect végétal. Cette présentation contiendra aussi de courts récits sur les Elekks, mammifères aux puissantes défenses et nous terminerons ce voyage par les Anciens de Draenor, des arbres d'une belle taille et doués d'une très grande intelligence. Vous retrouverez tout ceci dans la suite de cet article !
Les bêtes des terres sauvages : la vallée d’Ombrelune
La luxuriante vallée d’Ombrelune semble si paisible et idyllique que nombre d’aventuriers se laissent piéger par la trompeuse sensation de sécurité qui se dégage de ses collines ondoyantes et de ses forêts aux teintes violacées. Mais d’innombrables périls rôdent sous le couvert de cette apparente tranquillité et seuls les explorateurs bien informés ont une chance de survivre aux dangers tapis dans l’ombre.
Potamodontes
Les aventuriers sont souvent abusés par l’apparente placidité des potamodontes. Affichant un naturel paisible, ces animaux peuvent cependant devenir féroces lorsqu’on les dérange, et il n’est pas rare que les imprudents se fassent charger par deux tonnes de muscle et de graisse lancés à la vitesse d’un tram emballé. Capables d’encaisser une quantité de dégâts qui ne cesse de surprendre les Rangari, ils fréquentent souvent les eaux peu profondes que les enfants draeneï apprennent très tôt à éviter. Leur peau rocailleuse caractéristique remonte probablement à la lointaine préhistoire draeneï, à l’époque où les créatures de pierre tentaient d’imposer leur suprématie sur la flore chaotique de la région. Les explorateurs en quête de trophées feraient donc bien de garder à l’esprit que les potamodontes possèdent une armure naturelle des plus résistantes et qu’ils ont tendance à charger sans crier gare.
Boguelins
Les boguelins de Draenor constituent sans doute les représentants les plus cruels et les plus chaotiques des différentes espèces se jouant des distinctions entre règne animal et végétal. De petite taille et apparemment inoffensifs, ils œuvrent de concert pour capturer leurs proies et n’attaquent que lorsqu’ils sont sûrs de leur supériorité numérique. Les explorateurs attentifs savent que la couleur de leurs floraisons permet de déterminer s’ils préfèrent empoisonner, immobiliser ou attaquer physiquement leurs victimes pour en venir à bout. Une fois leur malheureuse proie submergée sous leur nombre, les boguelins la traînent dans les hautes herbes pour fertiliser la génération suivante. Une preuve de plus que les apparences sont parfois trompeuses…
Elekk
Dotés d’une taille considérable et pouvant compter sur le soutien de leur troupeau, les majestueux elekk broutent pacifiquement l’herbe des plaines de Draenor sans se soucier le moins du monde des prédateurs. Les explorateurs draeneï sont arrivés à la conclusion que ces animaux ne représentent aucun danger tant que leurs petits ou leur approvisionnement en eau ne sont pas menacés. Leur endurance en fait le moyen de transport favori des Draeneï qui apprécient également leur capacité à se défendre en chargeant ou en écrasant leurs assaillants. Des rumeurs tenaces affirment que les orcs du clan Sire-Tonnerre tourmentent et corrompent des elekk terrifiés qu’ils recouvrent ensuite de plaques d’armure pour en faire d’abominables armes de guerre capables de dévaster les rangs de leurs ennemis. Alors, prenez garde !
Anciens de Draenor
Les Rangari draeneï n’ont réussi que récemment à communiquer avec ces énormes arbres intelligents, mais les innombrables différences entre leurs modes de vie (sans même parler d’une perception radicalement différente du temps) ont grandement limité leurs interactions. Les anciens doivent leur nom à leurs cousins azerothiens. Ils sont étroitement liés à une espèce végétale préhistorique dont descend l’essentiel de la flore de Draenor, ce qui fait d’eux des rivaux directs des créatures de pierre. Ces énigmatiques anciens peuvent passer des centaines d’années au même endroit et ne consentent à bouger que lorsque leur habitat est menacé. La plus grande prudence est donc recommandée aux aventuriers cherchant du bois dans la vallée pour éviter de s’attirer les foudres de la forêt.
La vallée d’Ombrelune est un endroit dangereux, mais nombre de menaces tout aussi mortelles attendent encore d’être découvertes dans le monde sauvage de Draenor. En attendant de vous lancer dans son exploration, essayez de faire votre possible pour survivre...
Les bêtes des terres sauvages : la vallée d’Ombrelune